TABLE DES MATIÈRES

ASSÉ. 4

LE DEVOIR : En bref: Non à l'ASSE - Édition du lundi 16 mai 2005. 4

ICI : La CASSÉÉ au top (couverture + Entrevues) Semaine du 12 au 18 mai 2005. 4

LA PRESSE : La CASSEE est dans le rouge - Mardi 10 mai 2005. 4

LE DEVOIR : Un autre collège s’affilie à l’ASSÉ - Édition du vendredi 6 mai 2005. 4

LE SOLEIL : L’ASSÉ prend du galon - Vendredi 6 mai 2005. 4

1er MAI : FÊTE DES TRAVAILLEURS. 4

LA PRESSE : Manifestation du 1er mai : Le gaz poivre était requis, dit la police - Mardi 03 mai 2005. 4

LA GRANDE ÉPOQUE : 1ère page : Une marche du 1er mai divisée : début de parcours calme pour la manifestation qui s’est terminée avec matraques et cayenne - Mardi 03 mai 2005. 4

LE DEVOIR : Des gestes de violence ternissent le défilé du 1er mai à Montréal - Édition du lundi 2 mai 2005. 4

LE DEVOIR : Conseil général du PLQ - Rendez-vous manqué entre Charest et les chefs des grandes centrales : Un imbroglio provoque l'annulation de la traditionnelle rencontre du 1er mai entre le premier ministre du Québec et les chefs syndicaux - Édition du lundi 2 mai 2005. 6

LA PRESSE : 1ère page : photo : La marche du 1er mai tourne au vinaigre – Lundi 02 mai 2005. 7

LA PRESSE : 1ère page : Des manifestants dénoncent la brutalité policière – Lundi 02 mai 2005. 7

LE SOLEIL : 1ère page : photo : Grogne anti-Charest et vandalisme au menu du 1er mai – Lundi 02 mai 2005. 7

LE SOLEIL : 1er mai : Des vandales gâchent la fête à Montréal : la rencontre Charest-centrales syndicales annulée – Lundi 02 mai 2005. 7

JOURNAL DE MONTRÉAL : 1ère page : Intervention musclée au centre-ville : Manifestants poivrés ! – Lundi 02 mai 2005. 7

JOURNAL DE MONTRÉAL : Reportage photo : Manifestants poivrés ! – Lundi 02 mai 2005. 7

JOURNAL DE MONTRÉAL : Un 1er mai marqué par des actes de vandalisme – Lundi 02 mai 2005. 7

JOURNAL DE MONTRÉAL : Photo : un 1er mai marqué par des actes de vandalisme – Lundi 02 mai 2005. 7

MÉTRO : 1ère page : Photo : Manifestation : les travailleurs descendent dans lez rues – Lundi 02 mai 2005. 7

MÉTRO : 1ère page : Charest « corrigera » le tir : le premier ministre reconnaît certaines erreurs sur fond de manifestation – Lundi 02 mai 2005. 7

24 HEURES : 25 000 marcheurs à la Fête des travailleurs – Lundi 02 mai 2005. 7

THE GAZETTE : First page : Photo: Marchers carry may day message – Monday, May 02, 2005. 7

THE GAZETTE : Montreal protests target premier: Unions attack government policies: store windows broken; three protesters arrested – Monday, May 02, 2005. 7

MONDE DE L’ÉDUCATION. 7

LE SOLEIL : Université Laval : nouvelle hausse des frais en vue - Mardi 03 mai 2005. 7

LE SOLEIL : L’UQAR confirme que le Campus de Lévis sera agrandi à 12 000 m2 : un appel est lancé aux promoteurs intéressés à ériger les nouveaux locaux pour juin 2007 - Mardi 03 mai 2005. 7

LE SOLEIL : Concours de calage d’alcool : l’UQAC renforce la sécurité autour des activités étudiantes – Mardi 26 avril 2005. 8

LA PRESSE: Les étudiants préparent leurs examens à la dernière minute – Dimanche 17 avril 2005. 8

THE GAZETTE : New Brunswick offers $10,000 rebate to stduents who stay : credit will apply only th those graduates paying provincial income tax – Saturday, April 16, 2005. 8

FÉDÉRATIONS ÉTUDIANTES. 8

LE DEVOIR : En bref: Nouveau président de la FEUQ - Édition du lundi 2 mai 2005. 8

LA PRESSE : Photo : Le nouveau président de la FEUQ parle de l’urgence d’investir - Lundi 2 mai 2005. 8

LE SOLEIL : En bref: Nouveau président de la FEUQ - Lundi 2 mai 2005. 8

24 HEURES : Étudiant - FEUQ – Lundi 02 mai 2005. 8

LA PRESSE : Nouveau président à la FEUQ – Dimanche 1er mai 2005. 8

JOURNAL DE MONTRÉAL : François Vincent à Pier-André Bouchard à la tête de la FEUQ – Dimanche 1er mai 2005. 8

RADIO-CANADA : La FEUQ a un nouveau président - Mise à jour le samedi 30 avril 2005 à 20 h 32. 8

CYBERPRESSE : Présidence de la FEUQ : François Vincent succède à Pier-André Bouchard – Mis en ligne le samedi 30 avril 2005  8

CNW : Collège électoral - La FEUQ salue Pier-André Bouchard St-Amant et accueille François Vincent à titre de président – Mis en ligne le samedi 30 avril à 19 h 46. 9

LCN : Universités : L'heure de la retraite a sonné pour le président de la FEUQ - Mise à jour: Samedi 30 avril, à 11:10. 9

LE DEVOIR : Idées : La CASSEE fait le bilan de la grève étudiante - La voie difficile mais nécessaire, par Xavier Lafrance, Porte-parole de la CASSEE et secrétaire aux relations externes de l'Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSE) - Édition du samedi 30 avril et du dimanche 1er mai 2005. 9

LA PRESSE : Le président de la FEUQ se retire : Pier-André Bouchard redevient un simple étudiant – Samedi 30 avril 2005. 11

LE DEVOIR : 37 000 membres à la FECQ plutôt que les 60 000 affichés - Édition du vendredi 29 avril 2005. 11

LA PRESSE : Nouveau président à la FECQ – Mardi 26 avril 2005. 12

LE SOLEIL: Nouveau président à la FECQ: Étienne Hudon-Gagnon succède à Julie Bouchard à la tête de la Fédération étudiante collégiale – Lundi 25 avril 2005. 12

LE SOLEIL: Photo : Nouveau président à la FECQ: Étienne Hudon-Gagnon succède à Julie Bouchard à la tête de la Fédération étudiante collégiale – Lundi 25 avril 2005. 12

LA PRESSE: Brève : en baisse : La CASSÉÉ – Dimanche 17 avril 2005. 12

SUITE DE LA GRÈVE. 12

LE DEVOIR : En bref: Les étudiants révoltés - Édition du lundi 2 mai 2005. 12

LE DEVOIR : Une victoire au goût amer : Le mouvement étudiant dresse un bilan de la dernière grève - Édition du samedi 30 avril et du dimanche 1er mai 2005. 12

LE DEVOIR : Des étudiants rompus aux médias : « On s’est servis des médias autant qu’on a pu », explique un des leaders de la grève étudiante - Édition du samedi 30 avril et du dimanche 1er mai 2005. 12

THE GAZETTE : Threat to financial aid reeks of vendetta: CEGEP students – Education Department warned extensions to loans not guaranteed after strike – Friday, April 29, 2005. 12

LA PRESSE: En bref: Pour des prêts et bourses en juin – Jeudi 28 avril 2005. 12

LE SOLEIL: Fournier accusé de vendetta politique : L’absence d’aide financière pendant la prolongation du trimestre irrite les étudiants – Jeudi 28 avril 2005. 12

LE DEVOIR : Blitz publicitaire : « Manifestez-vous ! », dit l’UdeM aux collégiens – Le nombre de demandes d’admission est en chute – Édition du mercredi 27 avril 2005. 12

LA PRESSE : 1ère page : Séquelles de la grève sur les prêts et bourses : des cégépiens privés de travail d’été – Mercredi 27 avril 2005  13

LE SOLEIL : Des cégépiens perdent leur boulot d’été en raison de la grève – Mercredi 27 avril 2005. 13

JOURNAL DE MONTRÉAL : La facture de l’émeute : 12 200 dollars – Samedi 23 avril 2005. 13

RADIO-CANADA / ESTRIE : La session se terminera le 10 juin au Collège de Sherbrooke - Mise à jour le vendredi 22 avril 2005, 17 h 03  13

MÉTRO : Cégeps : en classe jusqu’à la fin juin - Jeudi 21 avril 2005. 13

24 HEURES : Des cégépiens en retenue – Jeudi 21 avril 2005. 13

RADIO-CANADA / OTTAWA-GATINEAU : La session sera prolongée au Cegep de l'Outaouais - Mise à jour le mercredi 20 avril 2005, 13 h 45. 13

RADIO-CANADA / ABITIBI-TÉMISCAMINGUE: Les cégépiens devront patienter plus longtemps avant leurs vacances - Mise à jour le lundi 18 avril 2005, 16 h 13. 13

24 HEURES : Retour à la normale à l’UQAM – Lundi 18 avril 2005. 13

LE SOLEIL : Une agression qui ne surprend pas : les prédécesseurs du président de la FEUQ ont eux aussi été victimes d’intimidation – Samedi 16 avril 2005. 14

JOURNAL DE MONTRÉAL : Président de la FEUQ entartré – Samedi 16 avril 2005. 14

LA PRESSE : Manif étudiante : le président de la FEUQ pourchassé – Vendredi 15 avril 2005. 14

THE GAZETTE : Going broke to learn: Quebec’s financial aid system – lauded as the most generous in Canada – is failing the poorest students, critics charge – Friday, April 15, 2005. 14

24 HEURES: Charest admet son erreur face aux étudiants – Jeudi 14 avril 2005. 14

RADIO-CANADA : Charest donne raison aux étudiants - Mise à jour le jeudi 14 avril 2005 à 5 h 11. 14

OPINION - ÉDITORIAL. 15

LE SOLEIL: Réplique: Frais de scolarité: Arguments pour une réelle réflexion – Lundi 02 mai 2005. 15

LA PRESSE: Éditorial : Le prix de la grève, par Katia Gagnon – Jeudi 28 avril 2005. 15

LE SOLEIL: Opinion: Frais de scolarité: Les arguments spécieux du mouvement étudiant, par Marc Simard – Jeudi 28 avril 2005  15

LE SOLEIL : Caricature : Charest change de stratégie…, par Côté - Mercredi 20 avril 2005. 15

MÉTRO : Tribune : Le respect a bien meilleur goût, par Marie Grégoire - Mercredi 20 avril 2005. 15

LE DEVOIR : Hé, les jeunes! Vous avez gagné!, par Michel Venne - Édition du lundi 18 avril 2005. 15

JOURNAL DE MONTRÉAL : Courrier de Virginie : Merci à l’école Pierre-Dupuy, par Fabienne Larouche – Lundi 18 avril 2005. 16

LA PRESSE: Éditorial : Comme un collabo, par Katia Gagnon – Dimanche 17 avril 2005. 16

LE DEVOIR : Chronique : La deuxième moitié, par Michel David - Édition du samedi 16 et du dimanche 17 avril 2005. 16

LA PRESSE : Humeur : Yvon Cyrenne au sujet du climat politique au Québec : l’Apogée de la go-gauche – Samedi 16 avril 2005  16

LA PRESSE / LE SOLEIL : Chronique : Oublier les baisses d’impôts ?, par Alain Dubuc – Samedi 16 avril 2005. 16

LE SOLEIL : Éditorial : De la boue sur les mains, par Jean-Marc Salvet – Samedi 16 avril 2005. 16

THE GAZETTE : Opinion: Don’t count federalists out: Charest’s popularity are down in shoe-size numbers and federal Liberals are ont the ropes, but a lot can happen in two years, by Norman Webster – Saturday, April 16, 2005. 16

LA PRESSE – LE SOLEIL : Chronique: Répudier Jean Charest, par Alian Dubuc ? – Vendredi 15 avril 2005. 16

LE DEVOIR: Éditorial : deux ans déjà, par Bernard Descôteaux – Édition du jeudi 14 avril 2005. 16

LE SOLEIL: Éditorial: Quel cap?, par Brigitte Breton – Jeudi 14 avril 2005. 16

LE SOLEIL: Caricature : Deux ans de pouvoir, par Côté – Jeudi 14 avril 2005. 17

THE GAZETTE : Editorial: Timidity is Charest’s principal problem – Thursday, April 14, 2005. 17

LETTRES. 17

LE SOLEIL: Lettre: Malhonnêteté intellectuelle – Dimanche 1er mai 2005. 17

METRO: Lettre: Désolant pour les vrais étudiants – Jeudi 28 avril 2005. 17

MÉTRO : Lettre : La CASSÉÉ n’a que ce qu’elle mérite – Mercredi 27 avril 2005. 17

LE DEVOIR : Lettres: Étudiants ou consommateurs?, par Serge Sokolski - Édition du lundi 25 avril 2005. 17

MÉTRO: Lettre: À la défense de la CASSÉÉ – Lundi 25 avril 2005. 17

LE DEVOIR : Lettres: Candeur : Lettre à Michel Venne, par Carl Bergeron, Montréal, avril 2005 - Édition du jeudi 21 avril 2005  17

THE GAZETTE : Letter : Student wasn’t complaining – Tuesday, April 19, 2005. 17

THE GAZETTE : Letter : Student should pay for her dream – Monday, April 18, 2005. 17

MÉTRO: Lettre: Un goût amer, mais il y a de l’espoir – Jeudi 14 avril 2005. 18

ACTUALITÉS SOCIALES ET POLITIQUES. 18

LE DEVOIR : Montréal-Ottawa à pied pour les sans-statut - Édition du mercredi 27 avril 2005. 18

LE SOLEIL : Entente PLC-NPD : Espoir chez les étudiants – Mercredi 27 avril 2005. 18

LE SOLEIL : Concours de calage d’alcool : l’UQAC renforce la sécurité autour des activités étudiantes – Mardi 26 avril 2005. 19

LE DEVOIR : Immigration : Ottawa donne un coup d’accélérateur – Des mesures pour aider les familles et les étudiants étrangers - Édition du mardi 19 avril 2005. 19

LA PRESSE : Montréal exclu d’un programme pour les étudiants étrangers : la mesure annoncée par le ministre fédéral de l’Immigration Joe Volpe vise à favoriser l’immigration dans les régions - Mardi 19 avril 2005. 19

LA PRESSE : Situation des étudiants étrangers - Mardi 19 avril 2005. 19

THE GAZETTE : Cover: Families’ waiting times slashed: Immigration numbers to be tripled – Tuesday, April 19, 2005. 19

CNW : Fédération étudiante universitaire du Québec - Droit de travail hors campus pour les étudiants internationaux - Le gouvernement fédéral règle le dossier – Mis en ligne le lundi 18 avril à 17 h 42. 19

LA PRESSE: Les étudiants préparent leurs examens à la dernière minute – Dimanche 17 avril 2005. 19

LE DEVOIR : Une mi-mandat sous tension : Jean Charest et son entourage avaient mal lu les résultats des élections d'avril 2003 - Édition du samedi 16 et du dimanche 17 avril 2005. 19

LE SOLEIL : Une nouvelle génération de politiciens serait-elle née ?: Après la plus grande grève étudiante que le Québec ait connue, des observateurs parlent de jeunes plus politisés, plus mobilisés et plus impliqués socialement – Samedi 16 avril 2005  21

THE GAZETTE : New Brunswick offers $10,000 rebate to students who stay : credit will apply only th those graduates paying provincial income tax – Saturday, April 16, 2005. 21

RADIO-CANADA / EST DU QUÉBEC: Les hauts et les bas du gouvernement Charest en Gaspésie - Mise à jour le vendredi 15 avril 2005, 16 h 32. 21

LE DEVOIR: Les étudiants passent le flambeau aux syndicats : des manifestations marquent le deuxième anniversaire de l’élection du gouvernement Charest – Édition du vendredi 15 avril 2005. 22

JOURNAL DE MONTRÉAL: Une autre manif pour “célébrer” le régime libéral – Vendredi 15 avril 2005. 22

MÉTRO : Couverture : Charest conspué : Le centre-ville est encore envahi – Vendredi 15 avril 2005. 22

MÉTRO: Photos: Manif : Guide de survie au PLQ / FEUQ : Bouchard pris à partie – Vendredi 15 avril 2005. 22

24 HEURES: Couverture : 3000 manifestants font « la fête » à Charest – Vendredi 15 avril 2005. 22

24 HEURES: 2 ans de règne libéral: 3 000 manifestants paralysent le centre-ville – Vendredi 15 avril 2005. 22

THE GAZETTE : Charest burned in effigy: hundreds protest against premier – Friday, April 15, 2005. 22

THE GAZETTE : Photo: Students light birthday candles …– Friday, April 15, 2005. 22

JOURNAL DE MONTRÉAL: Manifestation pour souligner les deux ans du gouvernement libéral de Jean Charest – Jeudi 14 avril 2005  22

MÉTRO: 1ère page : Les libéraux du Québec ont accédé au pouvoir il y a exactement deux ans : Les étudiants « fêtent » Charest – Jeudi 14 avril 2005. 22

THE GAZETTE : Rap group chants anti-Charest anthem: trio rides wave of unpopularity that’s washing over flagging Liberal government – Thursday, April 14, 2005. 22

THE GAZETTE : Charest’s two troubled years: some victories: students, labour harshly critical – Thursday, April 14, 2005. 22

THE GAZETTE : The Liberal campaign theme was Nous sommes prêts. But how ready are Jean Charest’s election promises? – Thursday, April 14, 2005. 23

RADIO-CANADA / ESTRIE : De nombreuses manifestations soulignent le deuxième anniversaire du gouvernement Charest - Mise à jour le jeudi 14 avril 2005, 17 h 53. 23

RADIO-CANADA / EST DU QUÉBEC: Un bilan contesté pour l'anniversaire du gouvernement Charest - Mise à jour le jeudi 14 avril 2005, 17 h 45. 23

RADIO-CANADA / ABITIBI-TÉMISCAMINGUE : Le deuxième anniversaire du gouvernement Charest est souligné bruyamment - Mise à jour le jeudi 14 avril 2005, 14 h 40. 23

BUDGET PROVINCIAL 2005. 24

LE DEVOIR : Éducation : pas de compressions… ni de réinvestissement - Édition du vendredi 22 avril 2005. 24

LA PRESSE : Ni gain ni perte en éducation : la presque totalité du budget est consacrée à des dépenses récurrentes - Vendredi 22 avril 2005. 24

LA PRESSE : Les universitaires attendent toujours un réinvestissement - Vendredi 22 avril 2005. 24

LA PRESSE : Photo - Vendredi 22 avril 2005. 24

LE SOLEIL : Éducation : Mesures – Réactions  - Vendredi 22 avril 2005. 24

JOURNAL DE MONTRÉAL : L’éducation n’est toujours pas une priorité, disent les étudiants  - Vendredi 22 avril 2005. 24

THE GAZETTE : School coffers get a boost: French schools to teach English earlier – Infrastructure support system will provide $520 million to spruce up aging buildings – Friday, April 22, 2005. 24

CNW : Réactions de la FEUQ au budget 2005-06 - La priorité en éducation n'est pas au rendez-vous : où est le réinvestissement dans les universités? – Mis en ligne le jeudi 21 avril 2005, à 18 h 09. 24

CNW : FECQ - L'éducation n'est toujours pas une priorité du gouvernement et le réseau collégial est confiné au rôle d'enfant pauvre – Mis en ligne le jeudi 21 avril à 17 h 02. 24

JOURNAL DE MONTRÉAL : Éducation : des besoins énormes mais des attentes modestes - Jeudi 21 avril 2005. 25

LE DEVOIR : Offensive provinciale pour hausser le financement au post-secondaire - Édition du lundi 18 avril 2005. 25

JOURNAL DE MONTRÉAL : Charest veut hausser le financement au post-secondaire – Dimanche 17 avril 2005. 25

 


 

ASSÉ

LE DEVOIR : En bref: Non à l'ASSE - Édition du lundi 16 mai 2005

Les étudiants du Cégep du Vieux-Montréal ont décidé de conserver leur indépendance et de ne pas se joindre à l'Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSE).

Au terme d'une semaine de référendum, l'opération d'affiliation à l'ASSE n'a pas charmé les 6000 étudiants du Cégep du Vieux-Montréal. Soixante et onze pour cent des 1300 personnes venues voter la semaine dernière ont réaffirmé leur penchant pour le statut d'indépendant associé à ce cégep.

Couverture

Article, 1ère partie

Article, 2ème partie

Article

LE DEVOIR : Un autre collège s’affilie à l’ASSÉ - Édition du vendredi 6 mai 2005

Article

LE SOLEIL : L’ASSÉ prend du galon - Vendredi 6 mai 2005

Article

1er MAI : FÊTE DES TRAVAILLEURS

Article

Article, 1ère page

Article, 2ème partie

Article, 3ème partie

Guillaume Bourgault-Côté

Encore cette année, et malgré une participation beaucoup moins massive qu’en 2004, c’est l’expression d’un grand mécontentement des syndicats et des travailleurs envers les politiques du gouvernement Charest qui a dominé le discours de la grande marche organisée hier par la coalition du 1er mai pour marquer la Fête internationale des travailleuses et des travailleurs.

Ramon Villarroel, un Mexicain d’une cinquantaine d’années, a reçu hier en plein visage et sous les yeux de plusieurs journalistes une forte dose de poivre de Cayenne lancée par un policier membre de l’escouade anti-émeute du Service de police de la Ville de Montréal, sans qu’il y ait eu de provocation apparente de sa part. L’homme a été conduit à l’hôpital après plusieurs minutes de souffrance, incapable de reprendre son souffle.

Mais la manifestation, qui s’est autrement déroulée dans le calme, a été obscurcie en fin de parcours par une intervention plutôt musclée du groupe anti-émeute du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) qui, en voulant prévenir des affrontements avec certains anarchistes, a causé l’hospitalisation d’un Mexicain d’une cinquantaine d’années, victime de violents troubles respiratoires après avoir été aspergé de poivre de Cayenne.

L’an dernier, près de 100 000 personnes s’étaient déplacées pour transformer la fête des travailleurs en un gigantesque rassemblement anti-gouvernement. Avec ses 8000 participants, le défilé d’hier avait donc des allures beaucoup plus modestes. «Ce n’est pas du tout la même chose, avance Claudette Carbonneau, présidente de la Confédération des syndicats nationaux (CSN), qui fait partie avec plusieurs autres groupes de la coalition du 1er mai, organisatrice de l’événement. L’an dernier, la manifestation était nationale, cette année, elle est régionale. Alors, nous sommes très satisfaits des résultats.»

Selon Mme Carbonneau, la présence de ces travailleurs à leur fête doit surtout être interprétée comme un acte de protestation contre le gouvernement. «C’est très clair. On se rassemble pour demander d’être libérés des projets néo-libéraux des libéraux. Les PPP [partenariats public-privé] signifient pour nous pauvreté, privatisation et précarité. Aujourd’hui, les gens témoignent d’une autre vision de la société, qui parle de prospérité, de pérennité et de partage.»

Son homologue à la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), Réjean Parent, estime pour sa part que «cette fête est là pour faire ressortir toutes les revendications des travailleurs. Mais, dans le contexte actuel, on est aussi là pour lutter contre les politiques du gouvernement. On a senti un changement d’attitude ces derniers temps chez les libéraux, l’amorce d’un dialogue plus grand. Mais il faut s’assurer que ce n’est pas momentané.»

Parti de la rue McGill sous un ciel incertain, le cortège est descendu festivement jusqu’au Medley, rue Saint-Denis, où le groupe Loco Locass a pris la relève des slogans scandés en interprétant quelques pièces.

 

La police intervient

C’est à la toute fin de la manifestation que celle-ci s’est en partie gâtée. En voulant rejoindre la tête de la marche, qui est réservée à certains groupes, selon ce que décide le comité organisateur, quelques jeunes se réclamant du mouvement anarchiste ont eu maille à partir avec le service d’ordre de la FTQ. Quelques escarmouches ont éclaté, au coin de Saint-Denis et Sainte-Catherine, et devant le Medley, où des jeunes s’en seraient pris à certains employés de la FTQ. Le SPVM parlait hier de «bousculades», sans nécessité d’intervention.

Mais, peu après, sans que les observateurs présents y aient vu d’élément déclencheur, les forces anti-émeute qui se tenaient prêtes à proximité du Medley ont envahi la rue, coupant la queue du défilé de la tête, déjà engouffrée à l’intérieur de la salle. L’arrivée de ces policiers a fait monter la pression d’un cran. Des coups de matraque ont été distribués — et constatés par les journalistes — durant le positionnement des policiers. Brenda Perello, une Argentine, a ainsi été frappée en pleine poitrine par un policier, alors qu’elle circulait dans la rue.

Pendant plusieurs minutes, la rue Saint-Denis a donc été occupée par le SPVM, qui, devant le calme apparent troublé par des invectives, a décidé de rebrousser chemin. Ce qui s’est fait sans heurts pour la majeure partie des forces. Mais un groupe de policiers, qui battaient en retraite vers leurs camions dans une ruelle parallèle à Sainte-Catherine, ont été suivis par des manifestants exprimant généralement leur colère contre ce que plusieurs — et pas seulement des anarchistes — qualifiaient de brutalité inutile. Une arrestation faite à ce moment a alors envenimé les choses.

Ramon Villarroel, un Mexicain de près de 50 ans qui était venu comme chaque année avec d’autres ressortissants latino-américains à la marche du 1er mai, s’est à ce moment trouvé en tête du mouvement, bras levé et doigts en V. En réaction, un policier a sorti sa bouteille de poivre de Cayenne pour l’asperger en plein visage, à faible distance. Plusieurs témoins, dont des journalistes et des photographes, ont aussi été incommodés par le gaz. Selon le SPVM, les policiers ont agi ainsi parce qu’ils se sentaient menacés par la foule. «La personne incommodée criait aux policiers que la foule allait les encercler s’ils ne libéraient pas le prévenu», indiquait-on hier soir. Une interprétation des événements qui contredit toutefois celle de tous les témoins.

Les policiers se sont finalement retirés. Sur la chaussée, couché par terre, M. Villarroel était alors pris de spasmes. De bons Samaritains l’ont fait monter dans leur appartement, où on l’a aspergé d’eau. Malgré cela, l’homme, assez corpulent, n’arrivait pas à reprendre son souffle : il tressautait, criait, était complètement rouge, visiblement en insuffisance respiratoire. Une ambulance a été appelée, mais elle mettra plus de 15 minutes à parvenir à l’appartement, situé à un jet de pierre de l’Hôpital Saint-Luc. Il a finalement été amené à l’hôpital, où il se portait bien hier soir, selon le SPVM.

«C’est inadmissible, déplorait Karla Perez, qui était avec le groupe de M. Villarroel. Nous étions là par solidarité avec les travailleurs québécois, parce que, chez nous c’est une fête importante. Ramon n’a jamais provoqué la police, et on l’envoie à l’hôpital. C’est de la brutalité policière gratuite», disait-elle, choquée.

Olivier Lapointe, porte-parole du SPVM, affirmait pour sa part que l’ensemble de la journée s’était bien déroulé. «Il y a eu quelques méfaits, des vitrines cassées et trois arrestations. Mais rien de grave.» Alors pourquoi l’intervention de l’anti-émeute, dans une foule majoritairement composée de personnes de 40 ans et plus ? «C’était pour disperser des groupes, dit-il, il y avait eu un peu d’agitation dans le secteur.» Il explique que «dans le tableau d’emploi de la force, le poivre de Cayenne vient avant l’intervention à main nue». «Le policier a dû se sentir menacé devant quelqu’un qui arrive les bras en l’air. C’était sa réaction, mais ça ne décrit pas l’ensemble de l’intervention policière.» Il reconnaissait toutefois que «ce n’était pas la norme d’envoyer quelqu’un à l’hôpital avec du poivre de Cayenne», dont les effets, selon lui, «ne sont pas dangereux» à long terme.

LE DEVOIR : Conseil général du PLQ - Rendez-vous manqué entre Charest et les chefs des grandes centrales : Un imbroglio provoque l'annulation de la traditionnelle rencontre du 1er mai entre le premier ministre du Québec et les chefs syndicaux - Édition du lundi 2 mai 2005

Kathleen Lévesque

Saint-Hyacinthe -- Le nouveau départ du gouvernement Charest a quelque peu été freiné hier par un imbroglio autour de l'annulation de la traditionnelle rencontre entre le premier ministre et les chefs des grandes centrales syndicales pour la fête des travailleurs.

Quelque 8000 personnes ont participé hier à la grande marche des travailleurs à l’occasion du 1er mai, dans les rues du centre-ville de Montréal.

Jacques Nadeau

L'équipe de Jean Charest avait pourtant organisé le conseil général du Parti libéral pour démontrer aux militants qu'il y avait matière dans le bilan des deux premières années au pouvoir pour s'enthousiasmer et que la deuxième moitié de ce mandat s'annonçait bien. Jean Charest a même décrété que le développement durable serait dorénavant «la marque de commerce du gouvernement».

Mais le ciel libéral a été assombri par le 1er mai. Un conflit d'horaires aurait forcé l'annulation de la rencontre entre M. Charest et les quatre leaders syndicaux (FTQ, CSN, CSQ et CSD). Les parties s'accusaient mutuellement d'être responsables de ce rendez-vous manqué.

 «J'étais disponible pour rencontrer les chefs syndicaux. C'est à leur demande que la rencontre a été annulée», a affirmé le premier ministre après avoir participé à l'assemblée des conseillers jeunes du PLQ, qui suivait la tenue du conseil général du parti.

M. Charest ne voit pas là l'illustration de la grogne syndicale à son endroit. Il a plutôt laissé entendre qu'il y avait dissension entre les centrales syndicales, ce qui expliquerait la situation.

 «C'est des enfantillages, s'est exclamé une source syndicale. Même si c'est une tradition de plus de 30 ans, ça ne se déroule pas nécessairement le 1er mai. L'année dernière, c'était le 30 avril. Il pourrait donc y avoir une rencontre mardi ou mercredi.» Cette personne, proche des discussions avec le bureau du premier ministre, a expliqué qu'un changement dans les horaires des activités du PLQ a tout bousculé. À l'origine, la rencontre devait avoir lieu hier matin, puis le premier ministre a proposé hier après-midi alors que se déroulait la grande manifestation des travailleurs.

 «La décision était unanime entre les chefs des quatre centrales de ne pas accepter l'heure fixée par le premier ministre», a expliqué à la Presse canadienne la présidente de la CSN, Claudette Carbonneau.

Les jeunes

Si les chefs syndicaux ont choisi de manifester, Jean Charest a choisi, lui, de s'adresser aux militants jeunes hier matin. Il a notamment salué le choix de ces jeunes qui ont choisi «ce chemin pas toujours facile» qu'est la politique et le Parti libéral, «un parti qui a duré». Il leur a parlé de la consultation qui s'amorce sur la stratégie d'action jeunesse et de développement durable, «la marque de commerce du gouvernement» pour les prochaines années.

En conférence de presse, le premier ministre a réitéré l'importance de ce dossier pour les prochaines années. Il a également indiqué que la décentralisation régionale, le pacte fiscal avec les municipalités, la conciliation travail-famille et les premiers projets réalisés en partenariat public-privé marqueraient l'action gouvernementale. Rendu à mi-mandat, M. Charest a souhaité donner un nouvel élan à son gouvernement dont la popularité est en chute libre.

D'ailleurs, au cours du conseil général qui s'est déroulé vendredi et samedi à Saint-Hyacinthe,

M. Charest a insisté sur le bilan de son gouvernement afin de donner des munitions aux militants libéraux pour qu'ils soient fiers et qu'ils transmettent la bonne nouvelle. Samedi, le ministre Jacques Dupuis, a arpenté la salle, micro à la main, pour stimuler les troupes et hacher menu les adversaires, y compris les journalistes.

Et avec les élections fédérales qui pourraient être déclenchées sous peu, Jean Charest a repris son credo de l'année dernière sur le déséquilibre fiscal. Il fera pression sur les chefs des quatre grands partis pour qu'ils reconnaissent le problème et qu'ils s'engagent à le régler. En fait, ce discours ne s'adresse qu'au premier ministre du Canada, Paul Martin, le seul à refuser de parler du déséquilibre fiscal. Pour ce qui d'appuyer un parti plutôt qu'un autre, Jean Charest s'est montré prudent, rappelant qu'il n'y aurait pas de mot d'ordre, mais plutôt des choix individuels.

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Article, 2ème partie

LE SOLEIL : 1ère page : photo : Grogne anti-Charest et vandalisme au menu du 1er mai – Lundi 02 mai 2005

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LE SOLEIL : 1er mai : Des vandales gâchent la fête à Montréal : la rencontre Charest-centrales syndicales annulée – Lundi 02 mai 2005

Article

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MÉTRO : 1ère page : Charest « corrigera » le tir : le premier ministre reconnaît certaines erreurs sur fond de manifestation – Lundi 02 mai 2005

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THE GAZETTE : First page : Photo: Marchers carry may day message – Monday, May 02, 2005

Photo couverture

THE GAZETTE : Montreal protests target premier: Unions attack government policies: store windows broken; three protesters arrested – Monday, May 02, 2005

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MONDE DE L’ÉDUCATION

Article

LE SOLEIL : L’UQAR confirme que le Campus de Lévis sera agrandi à 12 000 m2 : un appel est lancé aux promoteurs intéressés à ériger les nouveaux locaux pour juin 2007 - Mardi 03 mai 2005

Article

LE SOLEIL : Concours de calage d’alcool : l’UQAC renforce la sécurité autour des activités étudiantes – Mardi 26 avril 2005

Article

Article

THE GAZETTE : New Brunswick offers $10,000 rebate to stduents who stay : credit will apply only th those graduates paying provincial income tax – Saturday, April 16, 2005

Article

 

FÉDÉRATIONS ÉTUDIANTES

PC

Trois-Rivières -- Après la Fédération des étudiants du collégial (FECQ), au tour de la Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ) d'avoir un nouveau président.

François Vincent a été élu samedi au cours de l'assemblée générale annuelle de la FEUQ, à Trois-Rivières. Étudiant à l'Université de Montréal, M. Vincent succède à Pier-André Bouchard, un des leaders de la récente grève étudiante.

calendrier scolaire. L'aide financière a continué d'être versée pendant la grève étudiante.

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En bref

En bref

En bref

JOURNAL DE MONTRÉAL : François Vincent à Pier-André Bouchard à la tête de la FEUQ – Dimanche 1er mai 2005

Entrefilet

RADIO-CANADA : La FEUQ a un nouveau président - Mise à jour le samedi 30 avril 2005 à 20 h 32

François Vincent

Après la Fédération des étudiants du collégial (FECQ), c'est au tour de la Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ) de se doter d'un nouveau président. François Vincent a été élu samedi au cours de l'assemblée générale annuelle de la FEUQ, à Trois-Rivières.

L'étudiant en Arts et Sciences à l'Université de Montréal, 24 ans, succède ainsi à Pier-André Bouchard, un des leaders étudiants les plus visibles lors de la récente grève étudiante.

Pier-André Bouchard était contesté, et il a même été victime d'une agression qui aurait été commises par certains membres plus radicaux de la CASSEE.

Toutefois, Pier-André Bouchard, qui dirigeait la FEUQ depuis mai 2004, estime qu'il a réussi à faire reculer le gouvernement en récupérant 482 des 618 millions de dollars supprimés dans les bourses.

Le financement des universités, les élections fédérales et la stratégie d'action jeunesse figurent désormais parmi les grandes orientations de la FEUQ, déterminées par les délégués des associations étudiantes.

CYBERPRESSE : Présidence de la FEUQ : François Vincent succède à Pier-André Bouchard – Mis en ligne le samedi 30 avril 2005

Presse Canadienne, Trois-Rivières

Après la Fédération des étudiants du collégial (FECQ), au tour de la Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ) d'avoir un nouveau président.

François Vincent a été élu samedi au cours de l'assemblée générale annuelle de la FEUQ, à Trois-Rivières.

Étudiant à l'Université de Montréal, M. Vincent succède à Pier-André Bouchard, un des leaders de la récente grève étudiante. Ce dernier dirigeait le mouvement étudiant depuis mai 2004.

Le financement des universités, les élections fédérales et la stratégie d'action jeunesse figurent désormais parmi les grandes orientations de la Fédération, déterminées par les délégués des associations étudiantes.

CNW : Collège électoral - La FEUQ salue Pier-André Bouchard St-Amant et accueille François Vincent à titre de président – Mis en ligne le samedi 30 avril à 19 h 46

TROIS-RIVIERES, le 30 avril /CNW Telbec/ - Dans le cadre de son assemblée générale annuelle, la Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ) a aujourd'hui élu. Son nouveau comité exécutif 2005-2006 qui sera présidé par François Vincent. Du même souffle, les représentants des 19 associations étudiantes membres de la Fédération ont salué Pier-André Bouchard St-Amant qui quitte après avoir agi comme leader du mouvement étudiants depuis mai 2004. Ils ont également salué le travail des officiers sortants : Nick Vikander (v.p. aux affaires universitaires), Mathieu Langelier (v.p. aux affaires internes), Joel Teurtrie (secrétaire général) et Salim Laaroussi (président du conseil national des cycles supérieurs).
D'autres batailles à venir
Par ailleurs, les délégués des associations étudiantes ont déterminé les grandes orientations à venir pour la Fédération. "Le gouvernement répète à qui veut l'entendre que les universités sont sous financées. Jean Charest lui-même disait que nos universités doivent demeurer compétitives. Qu'il transforme ses paroles en action et investisse de l'argent neuf dans les universités", a déclaré François Vincent lors de son premier discours à titre de président de la FEUQ. "Les élections fédérales, stratégie d'action jeunesse, étudiants internationaux, frais différenciés et la loi-cadre sur l'accessibilité aux études seront au centre de nos préoccupations, si bien sûr le gouvernement ne se remet pas à faire des imbécillités comme couper dans les bourses" a renchéri ce dernier.
Finalisation de l'entente sur les prêts et bourses.
Finalement, les derniers éléments concernant l'entente entre le gouvernement du Québec et les fédérations étudiantes ont été finalisés cette semaine. Le gouvernement du Québec a signé l'entente administrative avec la Fondation canadienne d'étude des bourses du millénaire. De plus, lors du dernier conseil des ministres, le gouvernement a modifié le règlement sur l'aide financière aux études pour réduire le plafond des prêts tel que prévu, abolissant ainsi l'article 51. "Cela démontre que le ministre Fournier tient parole", a conclu Pier-André Bouchard, président sortant.
Voici la composition détaillée du nouveau comité exécutif avec l'université de provenance des membres :
-      François Vincent, président (Université de Montréal);
-      Jean-Patrick Brady, vice-président (Université de Sherbrooke);
-      Guillaume Lavoie, vice-président aux affaires internationales et fédérales (ENAP);
-      Daniel Bernard, vice-président aux affaires internes (Université du Québec à Rimouski);
-      François Séguin, secrétaire général (Université de Montréal);
-      Arielle Reid, coordonnatrice à la recherche (Université Concordia)
-      Philippe-Olivier Giroux, président du conseil national des cycles supérieurs (Université de Sherbrooke).
La Fédération étudiante universitaire du Québec représente 19 associations étudiantes. Avec ses 170 000 membres, la FEUQ est le plus important groupe jeune au Québec et certainement, le plus influent.
Vous pouvez trouver les informations personnelles sur François Vincent à l'adresse suivante : http://www.feuq.qc.ca/fr/index.php?pageName(equalsign)equipe_indi&initiale(equal sign)frvincent
Renseignements:
Mathieu Langelier, vice-président aux affaires internes sortant, (514) 554-0386 Cellulaire
Source:
Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ)

Le président de la Fédération étudiante universitaire du Québec, Pier-André Bouchard, prend sa retraite.

Celui qui était de toutes les tribunes lors de la plus importante grève étudiante de la province tire sa révérence.

Son successeur à la tête de la FEUQ sera nommé samedi lors du congrès qui aura lieu à Trois-Rivières.

Âgé de 25 ans, le leader étudiant estime qu'il avait rempli sa mission en tant que président, après avoir passé trois semaines intenses de négociations, de manifestations et d'entrevues dans les différents médias québécois.

La CASSEE (Coalition de l'Association pour une solidarité syndicale étudiante élargie), tout au long de cette huitième grève générale illimitée du mouvement étudiant québécois, a choisi la voie difficile mais nécessaire pour défendre le droit à l'éducation. Elle a d'abord et avant tout porté une perspective différente pour l'éducation, à contre-courant de celle mise en avant par l'État depuis une quinzaine d'années.

Se refusant à «gérer des coupes», la CASSEE, dont la plate-forme de revendications a été adoptée en assemblée générale par plus de 70 000 grévistes [...], a osé ramener une vision présentant l'éducation comme un droit, non pas comme un privilège.

Ainsi, parallèlement à ses revendications immédiates touchant l'aide financière aux études et le maintien du réseau collégial, la Coalition s'est fait un devoir, dans un contexte de grève permettant un accès quotidien à une tribune médiatique et aux assemblées générales des différentes associations étudiantes, d'aborder la possibilité et la nécessité, dans une société aussi riche que la nôtre, de tendre vers la gratuité scolaire et l'éradication de l'endettement étudiant.

Mais on ne peut séparer mécaniquement les questions théoriques des questions pratiques. À une analyse en rupture avec l'air néolibéral ambiant devait correspondre une tactique elle aussi à contre-courant : le syndicalisme de combat. Cette tactique prône la construction d'un rapport de force préalable aux négociations à travers une escalade de moyens de pression afin qu'un dialogue d'égal à égal puisse être établi entre les interlocuteurs.

La notion de rapport de force exige de tout mettre en oeuvre pour informer la population étudiante et l'amener à se mobiliser face à l'État; elle commande aussi la solidarité et la combativité. Le syndicalisme de combat exige enfin de consulter directement les personnes contribuant à forger le rapport de force afin d'établir démocratiquement ce qu'elles visent à défendre autour de la table de négociation.

Têtes brûlées ?

L'analyse de la CASSEE, ainsi que la pratique dont elle a usé pour la mettre en lumière, lui a quelquefois valu de voir, en bloc, ses membres qualifiés de «têtes brûlées» et de «casseurs». [...] Pourtant, les occupations, les perturbations économiques et les manifestations advenues au cours de la grève à l'appel de la CASSEE sont autant de tactiques maintes fois utilisées avec grand succès par les syndicats et les mouvements sociaux lorsque les négociations s'embourbaient. [...]

À aucun moment la CASSEE n'a fait preuve de violence gratuite; toujours, ses actions ont été légitimes. Occuper un bureau n'est pas violent; massacrer le droit à l'éducation l'est !

Par ailleurs, le ministre Fournier, si prompt à dénoncer la «violence» étudiante, n'a quant à lui jamais dit mot de la répression perpétrée par les forces policières au cours de la grève. Plusieurs jeunes ayant «violemment» fait du piquetage devant leur cégep ou encore bloqué l'accès à la Tour de la Bourse ont dû tâter de la matraque; plusieurs ont été blessés, d'autres arrêtés et détenus pendant plusieurs heures.

Le dernier geste qualifié de répréhensible en date est l'entartage et la dénonciation publique qu'a subis le président de la FEUQ, Pier-André Bouchard-Saint-Amand, lors du rassemblement syndical tenu le 14 avril dernier.

Encore une fois, la CASSEE s'est gracieusement fait attribuer la paternité du geste par différents analystes qui n'ont toutefois pas cru bon de préciser que jamais notre coalition n'avait appelé à une telle action qui, si elle a pu impliquer des individus membres d'associations étudiantes représentées par la CASSEE, en impliquait aussi d'autres, cette fois-ci membres de la FEUQ et de la FECQ.

Mais l'aspect tronqué de l'analyse de l'événement ne s'arrête pas là. En effet, une fois de plus, l'explication des motifs des individus s'efface devant la nécessité de les présenter comme de jeunes violents en mal d'être. Quand, dans le traitement de cet événement, a-t-on dénoncé le fait que les exécutifs de la FEUQ et de la FECQ avaient négocié seuls, à huis clos, avec le ministre de l'Éducation, sans la CASSEE, excluant ainsi 70 000 grévistes du processus ? [...] Quand a-t-on critiqué l'entente à rabais qui en a découlé et qui a fait en sorte que l'endettement étudiant aura en définitive explosé de 136 millions au Québec ? [...]

À la table quand même

Mais la conclusion aurait sans doute pu être bien pire si la solidarité et la combativité démontrées par les membres de la CASSEE n'avaient pas permis de pressuriser à la fois le ministre de l'Éducation et les exécutants de la FEUQ et de la FECQ. Dans les faits, la CASSEE aura été autour de la table de négociation sans y être représentée.

Quoi qu'il en soit, il est bien sûr que le fait d'entarter le président de la FEUQ n'est pas la solution qui permettra de sauvegarder le droit à l'éducation. Notre travail est autrement plus sérieux et exigeant. Mais nous pouvons désormais l'accomplir sur la base des acquis amenés par une grève qu'on peut, malgré tout et à bien des égards, qualifier de victorieuse.

La dernière grève étudiante aura vu fleurir la démocratie directe au sein du mouvement étudiant par l'entremise d'assemblées générales nombreuses et populeuses. Elle aura permis de lancer un vaste débat sur le droit à l'éducation au Québec et de politiser toute une génération d'étudiants. Elle aura enfin prouvé l'efficacité de la création d'un rapport de force afin de faire plier l'État néolibéral et la nécessité de forger une organisation capable de construire ce rapport de force. [...]

LA PRESSE : Le président de la FEUQ se retire : Pier-André Bouchard redevient un simple étudiant – Samedi 30 avril 2005

Article

Marie-Andrée Chouinard

Le nombre de membres de la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) est inférieur aux données officielles brandies par l'organisme tout au long de la grève étudiante. Selon les calculs effectués par Le Devoir, la fédération peut se vanter d'avoir environ 37 000 membres parmi les étudiants à temps plein de ses 18 associations, en lieu et place des 60 000 qu'elle revendique.

Parmi les séquelles possibles de cette grève, qui a connu son point culminant lorsque 230 000 étudiants — chiffres officiels! — ont boudé leurs cours, les affiliations et désaffiliations sont à surveiller.

La FECQ compte en effet 12 000 «membres suspendus» -- certains depuis au moins trois ans -- parmi ses effectifs totaux, de même que 4900 étudiants en formation continue ou à temps partiel. Selon les cégeps, qui perçoivent les montants auprès des étudiants, ceux-ci ne paient toutefois presque jamais de cotisation, ce qui explique mal qu'ils soient inclus dans le lot des membres. Environ 6000 étudiants manquent enfin de façon inexpliquée pour atteindre le chiffre magique de 60 000, véhiculé ad nauseam par la FECQ depuis très longtemps.

Cette révélation, dont se défend la FECQ, étonne la Fédération des cégeps, qui s'inquiète de la véritable représentativité du groupe étudiant. Celui-ci est toujours l'interlocuteur officiel auprès non seulement du réseau des directions de cégep mais aussi du ministère de l'Éducation, comme le récent conflit étudiant l'a démontré.

La mosaïque étudiante collégiale, avec ses 150 000 étudiants, n'est pas des plus simples. La FECQ a recruté des membres dans 18 cégeps, contre sept pour l'Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSE). La plupart des associations sont donc indépendantes -- affiliées ni à l'un ni à l'autre groupe -- et sont plus d'une vingtaine.

 «Cela pose une importante question sur la représentativité de la FECQ», a réagi hier Caroline Tessier, directrice des communications à la Fédération des cégeps. «Nous nous posons de plus en plus de questions sur les manières de joindre les indépendants, qui sont les plus nombreux dans nos collèges.»

Interpellée sur cette apparente désinformation et un possible gonflement de ses chiffres, la Fédération étudiante collégiale s'est défendue hier de colporter des données erronées. Outre les 37 000 étudiants à temps plein répartis dans 18 associations étudiantes, la FECQ calcule 12 000 «membres suspendus» qui ne paient plus leur cotisation à la fédération mais qui n'ont pas officiellement quitté la fédération selon les règles établies, c'est-à-dire en tenant un référendum auquel au moins 10 % des membres participent.

 «Ce n'est pas quelque chose de très agréable d'avoir des membres suspendus», a convenu hier le vice-président sortant de la FECQ, Jonathan Plamondon. «Mais nous les calculons en vertu d'un principe très clair de démocratie : ils n'ont pas quitté officiellement, selon nos statuts. C'est quelque chose de très important pour nous de respecter les règles», a-t-il ajouté, reconnaissant que si ces «suspendus» étaient interrogés sur leur appartenance à la FECQ, ils la nieraient.

incluait aussi dans la cagnotte totale les étudiants à temps partiel ainsi que ceux inscrits à la formation continue, qui sont au nombre de 4900, selon les données fournies verbalement par la FECQ.

La Fédération des cégeps contredit formellement cette version, expliquant que ces étudiants -- qui sont 29 000 dans tout le réseau des collèges -- ne paient pas de cotisation et ne peuvent donc pas être comptés parmi les membres, «sauf de façon rarissime», a expliqué Mme Tessier, de la Fédération des cégeps. La FECQ a précisé hier qu'elle calculait son membership en fonction des cotisations qui lui sont versées.

Interpellé sur cet apparent et évident paradoxe, qui crée un fossé additionnel de près de 5000 membres, M. Plamondon s'est défendu de faire de la «désinformation». «Nos chiffres sont réels, on ne les a pas gonflés», a-t-il assuré.

Toutefois, même en ajoutant les 12 000 «suspendus» -- venus des cégeps Montmorency, Bois-de-Boulogne, de Sept-Îles, de l'Outaouais et de Thetford Mines -- et les 4900 de la formation continue que la Fédération des cégeps réfute, il manque toujours 6000 étudiants pour atteindre le nombre de 60 000, un chiffre qui a figuré sur l'ensemble des communiqués produits par la FECQ et qui a été véhiculé à maintes reprises par l'ensemble des médias, Le Devoir compris.

Parmi les séquelles possibles de cette grève, qui a connu son point culminant lorsque 230 000 étudiants -- chiffres officiels ! -- ont boudé leurs cours, les affiliations et désaffiliations sont à surveiller. L'ASSE, qui a d'ailleurs gagné deux membres indépendants ces derniers jours, mène une campagne intensive pour accroître ses effectifs, lequel s'établit désormais à 24 500 membres.

Les cégeps de Saint-Jean-sur-Richelieu et de Saint-Jérôme se sont joints à l'ASSE alors que le cégep du Vieux-Montréal, le cégep François-Xavier-Garneau et un autre à Joliette pourraient leur emboîter le pas, ce qui gonflerait de 14 000 nouveaux membres le bassin de cette ASSE qui ne s'est pas faufilée jusqu'à la table des négociateurs avec le MEQ pour avoir refusé, comme le lui demandait le ministre Jean-Marc Fournier, de dénoncer certains gestes impétueux commis par ses membres.

La FECQ a elle aussi réussi à rallier de nouveaux joueurs, par exemple en réussissant à séduire les étudiants du campus de Terrebonne, dans Lanaudière.

Brève

LE SOLEIL: Nouveau président à la FECQ: Étienne Hudon-Gagnon succède à Julie Bouchard à la tête de la Fédération étudiante collégiale – Lundi 25 avril 2005

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LE SOLEIL: Photo : Nouveau président à la FECQ: Étienne Hudon-Gagnon succède à Julie Bouchard à la tête de la Fédération étudiante collégiale – Lundi 25 avril 2005

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SUITE DE LA GRÈVE

Le Devoir

La décision du ministre de l'Éducation de ne pas octroyer d'aide financière en juin pour les étudiants dont le trimestre est prolongé en raison de la grève soulève l'ire de la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ).

 «C'est une vendetta envers les étudiants qui ont fait la grève», s'insurge la présidente sortante de la FECQ, Julie Bouchard. Elle rappelle que l'aide financière est octroyée aux étudiants en fonction du nombre de mois passé sur les bancs d'école, à plein temps, et non en fonction des trimestres. «Cela revient à l'équivalent d'annuler la session pour ceux qui sont sur les prêts et bourses. Ils vont être obligés de lâcher l'école pour payer les comptes qui rentrent. Cela n'a aucun sens de stimuler le décrochage», poursuit Mme Bouchard. Pour l'heure, une quinzaine de cégeps prolongeront leur trimestre jusqu'en juin et plusieurs n'ont pas encore statué sur le réaménagement du

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THE GAZETTE : Threat to financial aid reeks of vendetta: CEGEP students – Education Department warned extensions to loans not guaranteed after strike – Friday, April 29, 2005

Article

Brève

LE SOLEIL: Fournier accusé de vendetta politique : L’absence d’aide financière pendant la prolongation du trimestre irrite les étudiants – Jeudi 28 avril 2005

Article

LE DEVOIR : Blitz publicitaire : « Manifestez-vous ! », dit l’UdeM aux collégiens – Le nombre de demandes d’admission est en chute – Édition du mercredi 27 avril 2005

Article

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Entrefilet

RADIO-CANADA / ESTRIE : La session se terminera le 10 juin au Collège de Sherbrooke - Mise à jour le vendredi 22 avril 2005, 17 h 03

La session se terminera le 10 juin au Collège de Sherbrooke. Cette décision a été prise au terme de négociations entre la direction, le syndicat des professeurs et les étudiants.

La session durera donc 75 jours, plutôt que les 82 jours normalement exigés en vertu de l'article 18 du Règlement sur le régime des études.

Si la direction avait exigé que chaque jour de cours perdu soit repris, les cours auraient pris fin le 21 juin, et les professeurs auraient fait des corrections au-delà de la fête de Saint-Jean-Baptiste.

Les étudiants et les professeurs devront toutefois mettre les bouchées doubles pour récupérer les heures perdues lors de la grève étudiante, qui a duré six semaines. Des cours devront notamment être ajoutés en soirée, ce qui risque fort de créer des conflits d'horaire.

Les professeurs termineront leurs corrections le 17 juin. Une entente reste toutefois à être négociée avec les professeurs à temps partiel, qui auront défoncé leur contrat de six jours.

Ce nouveau calendrier signifie en outre que les professeurs devront préparer leur session d'automne pendant leurs vacances. Ils avaient normalement trois semaines en fin de session pour y voir.

Brève

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RADIO-CANADA / OTTAWA-GATINEAU : La session sera prolongée au Cegep de l'Outaouais - Mise à jour le mercredi 20 avril 2005, 13 h 45

La grève des étudiants du Cegep de l'Outaouais contre la réforme du programme de bourses ne sera pas sans conséquence.

Les étudiants devront rester une semaine et demie de plus sur les bancs d'école afin de compléter leur session d'hiver.

Le conseil d'administration qui a pris la décision a aussi décidé de retarder la session d'automne d'une semaine.

Mais pour la présente session ça veut dire que les étudiants termineront le six juin, au lieu du 25 mai. Ils reprendront les cours le 29 août plutôt que le 22 pour la session d'automne.

RADIO-CANADA / ABITIBI-TÉMISCAMINGUE: Les cégépiens devront patienter plus longtemps avant leurs vacances - Mise à jour le lundi 18 avril 2005, 16 h 13

Les cégépiens du campus de Rouyn-Noranda sont les plus pénalisés par les conséquences de la grève étudiante que leurs collègues des autres constituantes du collège régional.

Les étudiants de Rouyn-Noranda termineront leur session le 8 juin, presque deux semaines après ceux des campus de Val-d'Or et d'Amos. Selon le calendrier scolaire initial, la session devait se terminer le 20 mai.

Cet écart s'explique par le fait que étudiants de Rouyn-Noranda doivent reprendre 12 jours de classe, tandis que leurs collègues de Val-d'Or n'auront qu'une seule journée à reprendre et ceux du campus d'Amos devront prolonger leur séjour dans les salles de cours de trois jours.

De plus, la direction du cégep de l'Abitibi-Témiscamingue doit prendre en considération les journées de grève des professeurs.

Pour que leur session soit reconnue, les étudiants des cégeps doivent avoir suivi 82 jours de classe.

24 HEURES : Retour à la normale à l’UQAM – Lundi 18 avril 2005

Brève

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Brève

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THE GAZETTE : Going broke to learn: Quebec’s financial aid system – lauded as the most generous in Canada – is failing the poorest students, critics charge – Friday, April 15, 2005

Article

24 HEURES: Charest admet son erreur face aux étudiants – Jeudi 14 avril 2005

Article

RADIO-CANADA : Charest donne raison aux étudiants - Mise à jour le jeudi 14 avril 2005 à 5 h 11

Jean Charest reconnaît l'erreur de son gouvernement dans la transformation de 103 millions de dollars de bourses en prêts.

Après avoir répété pendant la grève des étudiants que ceux-ci étaient les plus choyés au Canada, le premier ministre du Québec admet que la décision « n'était pas un bon choix », dans une entrevue accordée mercredi à l'émission Le Point de Radio-Canada.

http://www.radiocanada.ca/nouvelles/Politique/nouvelles/200504/13/010-Charest-Bourses-Erreur.shtml

« On s'est retrouvé devant un choix qui n'était certainement pas le meilleur, et on a voulu le changer, a-t-il expliqué. Mais on a aussi voulu le faire dans le contexte où le Québec est l'un des endroits où on traite le mieux les étudiants. »

M. Charest répète que les frais de scolarité actuels au Québec représentent « un demi-milliard de plus dans les poches des étudiants, comparativement au régime de l'Ontario ».

Mais le premier ministre voit un dénouement heureux au mouvement de grève, parce que le gouvernement fédéral paiera plus. « Ça doit être ainsi, parce que le fédéral a des moyens que nous n'avons pas », dit-il.

482 millions de dollars récupérés sur 618 millions

Après plusieurs semaines de grève des étudiants des cégeps et universités du Québec, le ministre de l'Éducation, Jean-Marc Fournier, a conclu une entente avec les deux principales fédérations étudiantes de la province, le 1er avril dernier.

L'accord prévoit la transformation de 70 millions de dollars de prêts en bourses en 2005-2006, puis le retour des 103 millions de dollars de bourses supprimés par Québec pour les quatre années suivantes. Au total, il s'agit d'un réinvestissement de 482 millions de dollars sur cinq ans.

La Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ) et la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) ont entériné l'entente.

De son côté, la Coalition de l'association pour une solidarité syndicale étudiante élargie (CASSEE), écartée des discussions, a dénoncé la proposition, mais a néanmoins recommandé à ses membres de retourner sur les bancs d'école.

Charest maintient le cap

Autrement, M. Charest a défendu son bilan à la tête du Québec. Il cite notamment les changements dans l'organisation du travail dans le réseau de la santé, les changements du rôle et à la tête de la Société générale de financement et de la Caisse de dépôt et de placement.

Il rappelle aussi l'entente sur la santé et la création du Conseil de la fédération.

Le premier ministre dit ne pas prêter attention aux sondages qui soulignent son impopularité. S'il admet qu'il lui faudra peut-être faire un effort supplémentaire pour expliquer ses politiques, il reste déterminé à poursuivre son programme.

Volte-face sur les compressions budgétaires

Par ailleurs, le gouvernement Charest aurait décidé d'effectuer des compressions de dépenses moins importantes que prévu.

Selon le quotidien La Presse, le ministre des Finances, Michel Audet, déposera jeudi prochain un budget comportant des réductions de dépenses moins considérables que les 500 millions envisagés. Par exemple, au ministère de l'Emploi et de la Solidarité sociale, les compressions d'abord envisagées de 150 millions seraient plutôt réduites à 80 millions.

Les réductions d'impôts seront aussi plus modestes que ce qui avait été d'abord prévu.

OPINION - ÉDITORIAL

Réplique

Éditorial

Opinion, 1ère partie

Opinion, 2ème partie

Opinion, 3ème partie

LE SOLEIL : Caricature : Charest change de stratégie…, par Côté - Mercredi 20 avril 2005

Caricature

Tribune, 1ère partie

Tribune, 2ème partie

LE DEVOIR : Hé, les jeunes! Vous avez gagné!, par Michel Venne - Édition du lundi 18 avril 2005

Que se passe-t-il donc? Le formidable et exemplaire mouvement de grève étudiante qui a mobilisé le Québec entier depuis les premières lueurs du printemps, sous le signe du légendaire carré rouge, est en train de s'éteindre dans la rancoeur et la morosité.

Réveillez-vous, les jeunes ! Vous avez gagné !

Quand allez-vous célébrer votre incontestable victoire ?

Vous avez forcé un gouvernement à admettre encore une erreur grossière, une injustice flagrante, pourtant ignorée jusque-là par la majorité de vos concitoyens.

Vous l'avez fait reculer.

Vous avez obtenu le réinvestissement, sous forme de bourses, de près d'un demi-milliard de dollars sur cinq ans, littéralement volés aux plus démunis d'entre vous.

Mais, surtout, vous avez vaincu l'indifférence.

Celle, d'abord, de vos collègues étudiants qui, par milliers, ont admis avoir appuyé un mouvement contestataire et avoir manifesté dans les rues pour la première fois de leur vie. Y compris les futurs chefs d'entreprise, les futurs comptables, les futurs médecins, les futurs ingénieurs.

Pour une fois, ce n'était ni une guerre lointaine orchestrée par un président américain, ni le concept fourre-tout de mondialisation qui mobilisait des jeunes. C'était un enjeu proche, une question familière, une décision prise par notre gouvernement et qui allait toucher concrètement des amis, des parents, des collègues.

Mais aussi l'indifférence de l'ensemble de la population. Vous avez obligé chaque Québécois, chaque soir, en regardant le téléjournal, à se poser pendant au moins quelques minutes, des questions sérieuses sur l'avenir de sa société : à qui et à quoi sert l'éducation ? Qu'est-ce que la justice ? Pourquoi payons-nous des impôts ? Qu'est-ce que la démocratie ?

Pour avoir ainsi contribué à l'éducation civique de vos concitoyens, je vous remercie.

J'aimerais maintenant que vous mesuriez l'importance de votre contribution et que vous retourniez une dernière fois dans la rue ou que vous trouviez une autre manière de dire que vous êtes fiers de ce que vous avez fait.

Peut-être maintenant faudrait-il porter un carré vert, signalant votre désir d'avancer, pour remplacer le rouge qui intimait au gouvernement l'ordre d'arrêter ses bêtises.

***

L'appel s'adresse bien entendu en particulier aux leaders étudiants qui ont la responsabilité d'organiser la célébration et de faire partager la fierté de la victoire.

Des journalistes ont mis en lumière vos talents d'organisateurs. Comment se fait-il que vous ayez oublié de prévoir une sortie à la hauteur des résultats obtenus ? Avez-vous en réserve un plan pour faire prendre conscience aux 200 000 jeunes qui ont risqué leur session qu'ils ne l'ont pas fait pour rien ? Comment allez-vous faire pour que ceux qui reprendront des cours jusqu'en juin, ne regrettent pas d'avoir sacrifié ainsi une partie de leurs vacances ou de leurs revenus d'été ?

Vous n'avez pas le droit de laisser s'étioler dans la déception le mouvement que vous avez dirigé.

La division entre les fédérations n'est pas un drame en soi. Chacune peut défendre des revendications différentes. Mais les dirigeants de la CASSEE jouent le jeu de leurs adversaires en pratiquant la dénonciation de leurs alliés.

Les accusations de traîtrise à l'endroit de la FEUQ et de la FECQ sont injustes. Au lieu de mobiliser les jeunes, ceux-ci nourrissent le cynisme. Ils donnent l'impression que la grève fut inutile et qu'il n'y a de juste combat que le combat sans merci.

Certes, la bataille n'est pas terminée. Bien sûr, l'idée du dégel des droits de scolarité a refait surface. Vous avez raison de réclamer un débat plus profond sur le financement des études post-secondaires dans une société du savoir. Je reconnais aussi que le vaste mouvement associé au carré rouge charriait avec lui une protestation plus large à l'endroit des politiques du gouvernement.

Mais le mouvement n'aurait jamais eu l'ampleur qu'il a connu si les étudiants, et tous ceux qui les ont appuyés, n'avaient pu trouver une revendication simple et consensuelle, celle de rétablir les 103 millions perdus. Tous les grévistes ne réclament pas la gratuité scolaire au niveau universitaire.

L'entente n'est pas parfaite, il faut le dire et l'expliquer. Chacun doit comprendre que le produit de l'entente ne règle pas les problèmes de financement des études post-secondaires ni ne met fin au débat sur l'aide financière aux études. Ces conclusions indiquent que la réflexion et l'action doivent se poursuivre.

Mais qui, sauf les irréductibles, voudra de nouveau suivre les leaders étudiants si ceux-ci sont incapables d'admettre et de faire partager le sentiment que l'action de ce printemps a servi à quelque chose ? À quoi bon se mobiliser l'automne prochain si c'est pour finir encore dans l'amertume ?

Avant de demander plus, il faut prendre la mesure du chemin parcouru. Il faut d'abord reconnaître sa capacité à changer les choses pour se motiver à en changer d'autres.

Ce printemps, le mouvement étudiant a renversé la vapeur. Ce fut un véritable tour de force, une victoire immense sur l'indifférence, l'incrédulité, le cynisme, l'injustice et les préjugés. C'est déjà majeur. N'allez pas gaspiller cette formidable énergie. Ne nous décevez pas.

JOURNAL DE MONTRÉAL : Courrier de Virginie : Merci à l’école Pierre-Dupuy, par Fabienne Larouche – Lundi 18 avril 2005

Courrier de Virginie

Éditorial

Chronique, 1ère partie

Chronique, 2ème partie

LA PRESSE : Humeur : Yvon Cyrenne au sujet du climat politique au Québec : l’Apogée de la go-gauche – Samedi 16 avril 2005

Humeur

Chronique

Éditorial, 1ère partie

Éditorial, 2ème partie

THE GAZETTE : Opinion: Don’t count federalists out: Charest’s popularity are down in shoe-size numbers and federal Liberals are ont the ropes, but a lot can happen in two years, by Norman Webster – Saturday, April 16, 2005

Opinion

LA PRESSE – LE SOLEIL : Chronique: Répudier Jean Charest, par Alian Dubuc ? – Vendredi 15 avril 2005

Chronique, 1ère partie

Chronique, 2ème partie

Chronique, 3ème partie

LE DEVOIR: Éditorial : deux ans déjà, par Bernard Descôteaux – Édition du jeudi 14 avril 2005

Éditorial, 1ère partie

Éditorial, 2ème partie

LE SOLEIL: Éditorial: Quel cap?, par Brigitte Breton – Jeudi 14 avril 2005

Éditorial

Caricature

THE GAZETTE : Editorial: Timidity is Charest’s principal problem – Thursday, April 14, 2005

Editorial

LETTRES

Lettre, 1ère partie

Lettre, 2ème partie

Lettre

Lettre

LE DEVOIR : Lettres: Étudiants ou consommateurs?, par Serge Sokolski - Édition du lundi 25 avril 2005

Québec, le 21 avril 2005

La dernière grève étudiante m'a forcé à prendre position: on ne reste pas insensible à ce genre d'événement. Les étudiants réclamaient le retour de 103 millions en bourses. Bien. Mais est-ce le vrai problème? Tant que les institutions financières (et leur complice gouvernemental) considéreront les étudiants comme des consommateurs, il faudra des prêts et bourses d'études. Tant que les étudiants se considèrent comme des consommateurs, aussi.

Rien n'est fait pour que les conditions de vie aux études ne coûtent pas cher et que les étudiants ne s'endettent pas. Pour avoir droit à une bourse, il faut s'endetter. Anormal. Il faudrait des résidences à 100 $ par mois la chambre. Il faudrait des restaurants universitaires à 3 $ le repas. Des rabais substantiels sur les transports en commun. Tout ce qui permet l'accès à des études supérieures et de s'en sortir sans dette.

Et il faut des bourses au mérite, et des bourses pour raisons «économiques». En contrepartie, les étudiants qui moisissent sur les campus, sans savoir dans quelle direction aller deviendront inadmissibles à ces facilités. Comme société, voulons-nous des étudiants consommateurs ? Si oui, payons sans discuter et endettons-les. Si nous voulons des étudiants qui étudient, rendons les conditions de vie aux études accessibles à bas prix. Des étudiants libres de dettes entreprennent des études graduées. Les autres non. Qui sera aux commandes de ce pays dans 10 ans ?

Lettre

LE DEVOIR : Lettres: Candeur : Lettre à Michel Venne, par Carl Bergeron, Montréal, avril 2005 - Édition du jeudi 21 avril 2005

Votre candeur m'émerveille. Vous vous extasiez du mouvement de grève étudiante en nous rappelant que «nous avons gagné» et qu'il ne sert à rien de dilapider notre «belle énergie» en rancoeur. Je vous rappelle que nous n'avons rien gagné du tout, la revendication principale des deux fédérations étudiantes étant le simple retrait des compressions. Il n'y a eu aucune conquête, aucun gain, seulement une action qui a visé à rétablir un ordre antérieur.

Les étudiants de la cohorte 2004-05 ont perdu plus d'une centaine de millions de dollars qui ne leur seront jamais remboursés. Pour ma part, ce sont 5000 $ d'endettement supplémentaire que je dois encaisser tout en étant censé me réjouir que le mouvement de grève auquel j'ai participé ait réussi à rétablir le financement précaire du régime de prêts et bourses d'ici deux ans et sur un horizon de cinq ans. Après cinq ans, qu'arrivera-t-il ? Toujours cette médiocre mentalité de petits gestionnaires à contrat...

En entrevue, le premier ministre «avoue» (sans doute sous l'impulsion de son nouveau directeur des communications) que la conversation des prêts en bourses était une erreur. Si seulement il était cohérent !... Les choses ainsi dites, j'ai l'impression plutôt juste, me semble-t-il, que les étudiants ont payé pour l'improvisation du gouvernement et que leur mouvement n'a servi qu'à atténuer la portée de son incompétence. Est-ce à ce rôle que vous voulez réduire les mouvements sociaux ? Colmater des brèches ? Il y a de quoi être morose.

THE GAZETTE : Letter : Student wasn’t complaining – Tuesday, April 19, 2005

Letter

THE GAZETTE : Letter : Student should pay for her dream – Monday, April 18, 2005

Letter

Lettre

 

ACTUALITÉS SOCIALES ET POLITIQUES

LE DEVOIR : Montréal-Ottawa à pied pour les sans-statut - Édition du mercredi 27 avril 2005

Clairandrée Cauchy

Dix ans après la marche féministe «Du pain et des roses», une centaine d'immigrants entreprendront le 18 juin une marche de huit jours qui les mènera de Montréal à Ottawa pour revendiquer un programme de régularisation des sans-statut.

Le système de détermination du statut de réfugié ressemble à un tirage de Loto-Québec, selon Saritha Ahooja, porte-parole de la coalition Solidarité sans frontières qui organise une marche de huit jours entre Montréal et Ottawa devant débuter le 18 juin.

Jacques Nadeau

Le système de détermination du statut de réfugié ressemble à un tirage de Loto-Québec, selon Saritha Ahooja, porte-parole de la coalition Solidarité sans frontières qui organise une marche de huit jours entre Montréal et Ottawa devant débuter le 18 juin.

La coalition Solidarité sans frontières, qui regroupe 15 associations d'immigrants de diverses origines, réclame la fin des expulsions de réfugiés déboutés et de la détention d'immigrants, l'abolition des certificats de sécurité ainsi que la création d'un programme de régularisation des sans-statut, dont ils estiment le nombre à 200 000 au pays et 40 000 à Montréal.

La porte-parole de cette coalition, Saritha Ahooja, a souligné que le gouvernement avait déjà instauré de tels programmes à au moins trois reprises par le passé, soit en 1960, 1980 et 1990. «Nous croyons que Paul Martin et Joseph Volpe ont le pouvoir de créer un programme de régularisation des sans-statut pour reconnaître leur contribution économique, culturelle et humaine à la société», a fait valoir Mme Ahooja.

Une telle demande se justifie, selon les militants, par les iniquités du système de détermination du statut de réfugié, qui ne comprend pas d'instance d'appel, contrairement à ce que la loi prévoit depuis 2002. «Comment le ministre Volpe peut-il déclarer que le système canadien est un modèle pour le monde quand il n'a même pas de section d'appel, quand les décisions rendues ressemblent à un tirage de Loto-Québec, où un frère est accepté et un autre refusé alors qu'ils proviennent du même camp de réfugiés palestinien ?», a lancé Saritha Ahooja. Elle dénonce également l'accord sur le tiers pays sûr, entré en vigueur en décembre dernier, qui empêche des revendicateurs du statut de réfugié de traverser la frontière américaine pour se rendre au Canada : «C'est une politique de profilage racial et de criminalisation des immigrants, où le racisme est devenu un modus operandi

Les membres de cette coalition ont précisé qu'ils ne se satisferont pas de l'octroi de permis temporaires de travail pour les travailleurs illégaux, une initiative avec laquelle jongle le gouvernement, selon ce que le ministre a laissé entendre ces dernières semaines.

Au Québec depuis 13 ans et mère de cinq enfants, tous né ici, Nora sera de la marche de huit jours, avec ses enfants. «Cette marche-là, on la fait aussi pour nous-mêmes, pour se soulager un peu le coeur», a affirmé cette femme, toujours en attente d'une révision de son dossier.

Les marcheurs et leurs supporteurs quitteront Montréal le 18 juin en passant par le boulevard Saint-Laurent et les quartiers multiethniques Parc Extension et Côte-des-Neiges.

LE SOLEIL : Entente PLC-NPD : Espoir chez les étudiants – Mercredi 27 avril 2005

Article

LE SOLEIL : Concours de calage d’alcool : l’UQAC renforce la sécurité autour des activités étudiantes – Mardi 26 avril 2005

Article

Article, 1ère page

Article, 2ème partie

Article, 1èrepartie

Article, 2ème partie

Synthèse

THE GAZETTE : Cover: Families’ waiting times slashed: Immigration numbers to be tripled – Tuesday, April 19, 2005

Article, first part

Article, second part

MONTREAL, le 18 avril /CNW Telbec/
La Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ) est particulièrement satisfaite du règlement du dossier du droit de travail hors-campus pour les étudiants internationaux. En effet, tel qu'annoncé aujourd'hui par les ministres Joseph Volpe et Jean Lapierre, l'élargissement du projet-pilote actuel permettra aux étudiants internationaux des régions de Montréal et Québec d'avoir accès au marché du travail
"Nous sommes très heureux de la décision annoncée. L'inclusion de Montréal et Québec dans le projet-pilote nous tenait à coeur depuis près de deux ans. C'est donc une excellente nouvelle pour les étudiants internationaux et pour le Québec", a déclaré le président de la FEUQ, Pier-André Bouchard.
Rappelons que le projet-pilote initial, en vigueur depuis près d'un an, se limitait aux régions du Québec et excluait les grandes régions métropolitaines de Québec et Montréal qui comptent près de 90 % des étudiants internationaux. L'élargissement du projet-pilote permettra de couvrir les 15 000 étudiants internationaux, peu importe leur lieu d'étude.
Par ailleurs, cette initiative favorisera le recrutement et la rétention des étudiants internationaux. "Les étudiants internationaux représentent une grande richesse. Leur accès au marché du travail représente un facteur déterminant vers une meilleure intégration à la société québécoise" a ajouté, M. Bouchard.
Renseignements:
Guillaume Lavoie, vice-président, Affaires internationales et fédérales, Bureau : 514.396-3380

Article

LE DEVOIR : Une mi-mandat sous tension : Jean Charest et son entourage avaient mal lu les résultats des élections d'avril 2003 - Édition du samedi 16 et du dimanche 17 avril 2005

Robert Dutrisac

Québec -- On a tendance à l'oublier, mais le gouvernement Charest fut un jour populaire, et son timonier aussi. À la fin de l'été 2003, Jean Charest avait toujours la cote avec un taux de satisfaction de 53 %, et le Parti libéral du Québec se maintenait à 48 % dans les intentions de vote, soit deux points de plus qu'au scrutin d'avril. Certes, cette embellie n'a duré qu'un temps.

Dans la saga du Centre hospitalier de l’Université de Montréal, Jean Charest a misé sur le mauvais cheval, créant une crise au sein de son gouvernement, et notamment avec le ministre de la Santé, Philippe Couillard. Dans ce dossier comme dans plusieurs autres, la cote du gouvernement et du premier ministre en a pris pour son rhume.

Jacques Nadeau

Le gouvernement Charest traversait la période de grâce dont jouissent tous les nouveaux gouvernements : au tout début d'un premier mandat, les électeurs sont toujours portés à croire qu'ils ont pris la bonne décision lors du scrutin.

Quand les choses ont-elles commencé à se détériorer pour le gouvernement libéral ? Dès la première session parlementaire complète, alors que Jean Charest et ses ministres frais émoulus ont annoncé leurs premières décisions, à l'automne 2003.

Le gouvernement Charest a braqué les syndicats et les employés de l'État en émasculant l'article 45 du Code du travail sur la sous-traitance, en chambardant les structures syndicales dans le réseau de la santé et en agitant le spectre de la «réingénierie» et des partenariats public-privé. Le ministre Pierre Reid avait commencé à asticoter les étudiants avec un premier alourdissement de leur endettement et alarmé le milieu de l'éducation en général avec une réflexion sur l'avenir des cégeps, dont on ne savait alors s'ils allaient survivre aux ruminations ministérielles.

Comme si ce cocktail n'était pas assez explosif, le gouvernement Charest a haussé de 5 à 7 $ le tarif quotidien des garderies, reniant son engagement électoral de ne pas y toucher. Il a ainsi soulevé la colère des groupes communautaires mais aussi celle des parents de la classe moyenne.

À l'époque, Jean Charest qualifiait cette grogne de superficielle, et les manifestations qui se multipliaient partout au Québec étaient, à ses yeux, le fait de «ceux qui parlent fort», alors que lui, il était à l'écoute de «ceux qui ne peuvent pas s'exprimer».

Jean Charest et son entourage avaient mal interprété les résultats du scrutin d'avril 2003. Ils étaient convaincus que les Québécois étaient prêts pour un net virage à droite puisque les deux tiers d'entre eux, c'est-à-dire les citoyens qui ont voté pour le PLQ mais aussi pour l'Action démocratique du Québec, un parti encore plus à droite, souhaitaient un changement radical. Or nombre de Québécois, fatigués d'un gouvernement péquiste qui présentait tous les signes de l'usure et après avoir penché pour Mario Dumont, ont voté pour le Parti libéral parce qu'il incarnait, à leurs yeux, le juste milieu.

Résultat : au cours de l'automne 2003, le taux d'insatisfaction envers Jean Charest et son gouvernement, sondage après sondage, s'est accru pour atteindre 60 % fin décembre et 70 % à la mi-janvier 2004. «Nous avons reçu un mandat clair», persistait à répéter le chef libéral.

À l'automne 2004, le gouvernement Charest avait légèrement remonté la pente : l'insatisfaction à son endroit, toujours élevée, s'était tassée pour s'établir à 59 %. Le deuxième budget Séguin avait été bien reçu (on n'avait pas remarqué qu'il cachait l'odieuse compression de 103 millions à l'encontre des étudiants les plus démunis). L'entente sur le financement de la santé en septembre est apparue comme un bon coup de la part de ce gouvernement fédéraliste : son idée de créer le Conseil de la fédération a donné des fruits et l'asymétrie a fait son entrée dans un texte signé par le gouvernement fédéral. Enfin, l'opération de relations publiques du Forum des générations, qui a connu son apogée en octobre avec une grand-messe célébrée par le premier ministre, a montré que son gouvernement pouvait tendre l'oreille même si c'était «pour maintenir le cap», comme le répète encore Jean Charest aujourd'hui.

Le début de l'année 2005 a été marqué par l'incohérence. Pendant quelques jours, Jean Charest a défendu la décision pour le moins incongrue de subventionner à 100 % les écoles privées juives pour ensuite se rendre compte que la bourde ne passait pas dans la population. La compression de 103 millions dans les prêts étudiants est revenue à la surface, dégénérant en mouvement de grève sans précédent chez les étudiants.

Enfin, dans le dossier du Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM), Jean Charest a misé sur le mauvais cheval, créant une crise au sein de son gouvernement. Il a humilié publiquement deux de ses plus fervents supporters : l'ancien premier ministre Daniel Johnson, dont le jugement a été mis en doute quand M. Charest a confié à Guy Saint-Pierre et Armand Couture le soin d'arriver à des conclusions différentes que celles énoncées par M. Johnson, puis M. Saint-Pierre qui, pris à son propre jeu, a comparu en commission parlementaire pour voir son rapport taillé en pièces par le ministre de la Santé et des Services sociaux, Philippe Couillard.

Sondages dévastateurs

La cote du gouvernement et du premier ministre en a pris pour son rhume. S'il ne faut pas gouverner par sondages, il n'est certes guère réjouissant pour les élus libéraux de constater que 78 % des Québécois sont insatisfaits de leur gouvernement et que le PLQ ne recueille plus que 21 % des intentions de vote, au troisième rang derrière l'ADQ, selon la dernière enquête d'opinion de Léger Marketing. Il est vrai que la commission Gomery -- on entendra sous peu le témoignage des dirigeants du Groupe Everest, une firme qui a été très proche de M. Charest -- a accentué le scepticisme de la population envers la classe politique, à commencer par les députés libéraux, qu'ils siègent à Ottawa ou à Québec.

Parmi les bons coups du gouvernement Charest figure -- on l'a vu -- l'entente sur le financement de la santé de septembre 2004, qui procure 4,2 milliards en cinq ans au Québec sans que de nouvelles conditions soient imposées par le gouvernement fédéral.

Mais le gouvernement Charest devait déchanter en octobre -- et le ministre des Finances, Yves Séguin, le premier -- quand il est revenu les mains vides, ou presque, de la Conférence sur la péréquation.

Autre bon coup du gouvernement mais qui s'est perdu dans le maelström des écoles privées juives, du CHUM et de la grève des étudiants : l'entente avec Ottawa sur les congés parentaux, qui permet au Québec d'obtenir 750 millions par année pour instaurer son propre programme.

En santé, le bilan est moyen. En deux ans, le gouvernement Charest a investi 2,2 milliards de plus dans le réseau de la santé. C'est deux fois moins que la promesse libérale énoncée en campagne électorale. Mais c'est quand même davantage que la croissance normale de coûts d'environ 5 % dans le domaine de la santé, d'autant plus que les salaires -- 80 % des dépenses du réseau -- n'ont connu aucune augmentation puisque les conventions collectives sont toujours en négociation. Cette marge de manoeuvre a servi à réduire les listes d'attente et à améliorer la situation dans les urgences.

Or, à l'exception des délais d'attente pour la chirurgie des cataractes, la radiothérapie et la chirurgie cardiaque, peu de choses ont changé. Dans l'ensemble, le nombre de personnes en attente d'un traitement au delà du délai médicalement acceptable est passé de 35 000 à 43 429 en deux ans, une augmentation de 8429 cas, ou 24 %, a relevé la porte-parole de l'opposition officielle pour la santé, Louise Harel.

«Dans le domaine de la santé, étant donné le niveau très élevé des attentes, il faut, je crois, recentrer le discours sur les aspects positifs, les améliorations possibles compte tenu des ressources financières», a déclaré Philippe Couillard au cours d'un point de presse hier, comme s'il préparait la population à ne pas trop fonder d'espoir sur le prochain budget en ce qui touche à la santé.

Des décisions qui tardent

Le gouvernement Charest se distingue aussi pour les choses qu'il n'a pas faites, pour le meilleur ou pour le pire. C'est le cas en éducation, où la réforme des cégeps, que d'aucuns craignaient, a abouti à des ajustements mineurs. On n'a pas encore vu la couleur des partenariats public-privé, dont le déploiement, «réingénierie» oblige, devait révolutionner les services publics et renflouer les coffres de l'État. Les contribuables n'ont pas non plus goûté à de véritables baisses d'impôt, l'assise du programme électoral des libéraux. Les Québécois n'en veulent tout simplement pas si elles ont pour conséquence une diminution des services publics.

En faisant le bilan du gouvernement, on doit aussi faire celui de l'homme qui le dirige. La revue Commerce a décerné à Jean Charest une mauvaise note «pour l'ensemble de son oeuvre». D'autres, dont plusieurs libéraux, s'interrogent sur le jugement d'un homme qui a pris la décision portant sur les écoles privées juives et défendu une telle décision. D'autres encore relèvent la contradiction de plus en plus évidente entre les idées conservatrices du chef et les valeurs libérales qui sont chères à plusieurs élus libéraux à l'Assemblée nationale.

En entrevue cette semaine, Jean Charest a dit qu'on avait souvent écrit sa «notice nécrologique» de la politique et qu'il était pourtant devenu premier ministre. Chose certaine, jamais n'a-t-on vu autant de personnes écrire à l'avance une telle notice pour un premier ministre du Québec qui n'a fait que deux ans de son premier mandat.

Article, 1ère partie

Article, 2ème partie

Photo

THE GAZETTE : New Brunswick offers $10,000 rebate to students who stay : credit will apply only th those graduates paying provincial income tax – Saturday, April 16, 2005

Article

RADIO-CANADA / EST DU QUÉBEC: Les hauts et les bas du gouvernement Charest en Gaspésie - Mise à jour le vendredi 15 avril 2005, 16 h 32

Les Gaspésiens sont assez partagés sur le bilan des interventions régionales durant les deux premières années du gouvernement libéral. Entre la fermeture du chantier de Papiers Gaspésia à Chandler et l'essor régional de l'industrie éolienne, le coeur des Gaspésiens balance.

C'est dans les premiers mois du nouveau gouvernement libéral que les problèmes du chantier de modernisation de la papeterie de Chandler ont fait surface. Le chantier fermait finalement en janvier 2004 à la suite d'importants dépassements de coûts.

Depuis, tous les efforts de relance ont échoué et les libéraux ont mis sur pied une commission d'enquête pour faire la lumière sur les cafouillages du chantier.

En attendant, la région de Chandler vit dans l'angoisse de voir sa population péricliter et tente d'amoindrir les ravages entraînés par cette fermeture dans l'économie locale.

À Murdochville où une partie de la population, majoritairement favorable à la fermeture de la ville, attendait beaucoup des libéraux, certains auront été déçus lorsque le gouvernement a refusé de mettre la clef sur la porte. D'autres auront approuvé puisque Québec a, depuis, investi pour relancer l'économie de l'ancienne ville minière.

Les libéraux ont aussi consenti 1 milliard de dollars pour développer l'énergie éolienne dans la région. La Gaspésie attend toutefois de connaître s'il y aura de nouvelles conditions de contenu régional attachées aux prochains achats de 1000 mégawatts promis par les libéraux.

Plusieurs dans la région estiment que cela permettrait vraiment de consolider l'industrie locale naissante.

Aux îles de la Madeleine, la promesse des libéraux de tenir des votes sur la défusion s'est concrétisée avec la défusion de la ville centre, Cap-aux-Meules, et celle de Grosse-Île de quitter le giron de la municipalité regroupée des Îles-de-la-Madeleine.

Aux Îles, depuis, les Madelinots s'entredéchirent sur le statut de Cap-aux-Meules. Récemment, les partisans de la ville regroupée réussissaient à organiser un référendum dont les résultats furent favorables au maintien de Cap-aux-Meules dans la municipalité fusionnée.

La nouvelle ministre des Affaires municipales et des Régions, Nathalie Normandeau, n'a toujours pas fait connaître son intention quant aux résultats de cette consultation.

Cette dernière, après un premier passage comme ministre déléguée au Tourisme et au Développement économique régional, a rapidement gravi les échelons au sein du cabinet.

La députée de Bonaventure demeure fidèle au premier ministre, à qui elle avoue vouer une admiration particulière. Malgré cette confiance de la ministre responsable de leur région envers Jean Charest, les Gaspésiens sont également influencés parce ce qui se passe sur la scène provinciale.

Ainsi, comme dans l'ensemble du Québec, les membres du Réseau vigilance de la Gaspésie, un regroupement d'organismes communautaires et de syndicats, ont manifesté, jeudi, en ce deuxième anniversaire de l'arrivée au pouvoir du gouvernement Charest.

Plus d'une centaine de personnes s'étaient réunies à New-Richmond devant les bureaux de Nathalie Normandeau, pour faire connaître leur mécontentement.

Article

JOURNAL DE MONTRÉAL: Une autre manif pour “célébrer” le régime libéral – Vendredi 15 avril 2005

Article

MÉTRO : Couverture : Charest conspué : Le centre-ville est encore envahi – Vendredi 15 avril 2005

1ère page

Photo Manif

Photo FEUQ

1ère page

Article

THE GAZETTE : Charest burned in effigy: hundreds protest against premier – Friday, April 15, 2005

Article, 1ère partie

Article, 2ème partie

THE GAZETTE : Photo: Students light birthday candles …– Friday, April 15, 2005

Photo

Article

1ère page

THE GAZETTE : Rap group chants anti-Charest anthem: trio rides wave of unpopularity that’s washing over flagging Liberal government – Thursday, April 14, 2005

Article

THE GAZETTE : Charest’s two troubled years: some victories: students, labour harshly critical – Thursday, April 14, 2005

Article, 1ère partie

Article, 2ème partie

THE GAZETTE : The Liberal campaign theme was Nous sommes prêts. But how ready are Jean Charest’s election promises? – Thursday, April 14, 2005

Tableau

RADIO-CANADA / ESTRIE : De nombreuses manifestations soulignent le deuxième anniversaire du gouvernement Charest - Mise à jour le jeudi 14 avril 2005, 17 h 53

Comme partout ailleurs au Québec, plusieurs manifestations ont eu lieu à Sherbrooke, jeudi, pour souligner le deuxième anniversaire de l'arrivée au pouvoir du gouvernement Charest.

En fin d'après-midi, environ 250 ont répondu à l'appel du réseau Solidarité populaire Estrie en allant manifester au centre-ville de Sherbrooke.

Les manifestants voulaient essentiellement signifier qu'ils sont contre les baisses d'impôts annoncées par le gouvernement. La porte-parole de Solidarité populaire Estrie, Ghyslaine Beaulieu, estime qu'une telle mesure pénaliserait inévitablement les citoyens les plus pauvres.

Vers midi, une cinquantaine d'exploitantes de garderies en milieu familial avaient également manifesté leur désarroi devant le bureau de M. Charest. Elles voulaient rappeler qu'elles n'acceptent toujours pas qu'on leur refuse le droit de se syndiquer.

En décembre dernier, le gouvernement Charest leur a imposé le statut de travailleuses autonomes plutôt que celui de salariées.

La présidente de l'Alliance des intervenantes en milieu familial de l'Estrie, Marlène Carbonneau, affirme que les éducatrices en milieu familial ont de piètres conditions de travail.

RADIO-CANADA / EST DU QUÉBEC: Un bilan contesté pour l'anniversaire du gouvernement Charest - Mise à jour le jeudi 14 avril 2005, 17 h 45

Comme les organismes-frères du reste de la province, le Réseau de vigilance du Bas-Saint-Laurent a souligné le deuxième anniversaire du mandat de Jean Charest en réclamant la démission du gouvernement.

Ce réseau, qui regroupe une quinzaine de syndicats et d'organismes communautaires, estime que, depuis deux ans, les libéraux imposent aux Québécois des politiques dont ils ne veulent pas.

Le bilan du gouvernement que trace le porte-parole du Réseau vigilance au Bas-saint-Laurent, Louis-Philippe Renaud, n'est guère reluisant.

M. Renaud souligne les réductions à l'aide sociale, la diminution appréhendée du financement des garderies : « On demande en fait que ce gouvernement démissionne, parce que, si ça continue comme ça, c'est clair qu'il va y avoir des torts irréparables qui vont être commis. »

Louis-Philippe Renaud déplore l'obstination du premier ministre à vouloir imposer des politiques néo-libérales au Québec. « Il part avec des barèmes en voulant privatiser partout, en voulant réduire la taille de l'État, mais les Québécois, ce n'est pas ça qu'ils veulent », soutient-il. Le Réseau vigilance du Bas-Saint-Laurent prévoit commenter publiquement le prochain budget provincial et participer activement à la fête des Travailleurs, le premier mai.

Les membres de ce réseau ne sont reconnaissants envers le gouvernement Charest que pour une chose, c'est d'avoir ranimé la flamme du militantisme sociopolitique parmi la population.

RADIO-CANADA / ABITIBI-TÉMISCAMINGUE : Le deuxième anniversaire du gouvernement Charest est souligné bruyamment - Mise à jour le jeudi 14 avril 2005, 14 h 40

Des manifestations ont eu lieu un peu partout au Québec pour souligner la mi-mandat du gouvernement Charest.

Une quarantaine de membres du Réseau de Vigilance de l'Abitibi-Témiscamingue ont manifesté, jeudi, devant le bureau du député libéral provincial de Rouyn-Noranda-Témiscamingue, Daniel Bernard.

Les manifestants, essentiellement des syndiqués et des représentants de groupes communautaires, ont voulu souligner à leur façon le deuxième anniversaire de l'élection du parti libéral du Québec.

Ils affirment que les politiques du gouvernement Charest ont occasionné des reculs, en particulier pour les femmes, de même que dans les secteurs de l'éducation et de l'aide sociale.

Le Réseau Vigilance demande, notamment, aux libéraux de revenir sur leur décision de réduire les impôts à l'occasion du prochain budget.

« Un baisse de l'impôt, c'est dangereux. Ce sont les revenus de l'État pour permettre d'offrir les services publics de qualité accessibles à tous. On veut que M. Bernard se lève en Chambre et dise que la population est contre cette baisse d'impôt », a déclaré la porte-parole de l'organisme de pression, Johanne Alarie.

BUDGET PROVINCIAL 2005

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THE GAZETTE : School coffers get a boost: French schools to teach English earlier – Infrastructure support system will provide $520 million to spruce up aging buildings – Friday, April 22, 2005

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QUEBEC, le 21 avril /CNW Telbec/
La Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ) constate une fois de plus que l'éducation n'est pas une priorité pour le gouvernement libéral. Les universités ne reçoivent que de l'argent pour maintenir le niveau actuel des services, les coûts de système. "Depuis deux ans, le parti libéral promettait 70M$ d'argent neuf dans les universités, aujourd'hui le gouvernement ne réinvestit aucun argent neuf pour améliorer la qualité de l'éducation" s'exclame Pier-André Bouchard, président de la FEUQ.
Du côté du programme de prêts et bourses, le gouvernement libéral réinjecte les sommes soutirées par le plus gros mouvement de grève de l'histoire du Québec. Ainsi, 70M$ seront réinvestis dans la conversion de prêts et bourses dès l'année 2005-06 et 103M$ les années suivantes. "Pendant plus de 12 mois, une génération s'est levée debout pour faire réaliser au gouvernement les ratés de sa politique. Nous allons continuer à nous battre afin que le réinvestissement dans les universités soit au rendez-vous" affirme le président de la FEUQ.
Renseignements:
Pier-André Bouchard, Président, FEUQ, (514) 867-9975
QUEBEC, le 21 avril /CNW Telbec/ - La Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) déplore que le budget de dépenses 2005-2006 confine le réseau collégial dans le rôle de l'enfant pauvre du système d'éducation et que l'éducation ne soit toujours pas une priorité du gouvernement.
"Quand on entend le gouvernement répéter ad nauseam que l'éducation est l'une de ses deux grandes priorités et que l'on constate qu'il n'y a pas de nouvel investissement prévu au budget, il y a lieu de dénoncer le peu de considération qu'a ce gouvernement pour les étudiants", commente la présidente de la FECQ, Julie Bouchard.
En effet, outre les 70 M $ prévus dans l'entente obtenue à l'arraché par les deux fédérations étudiantes, suite à la mobilisation historique du mouvement étudiant et la grève générale sans précédent, aucun nouvel investissement en éducation n'est annoncé.
Il est également déplorable que le budget Audet prévoit uniquement la reconduction des 15 M $ annoncés l'an dernier en versement aux cégeps en région pour compenser la perte financière attribuable à la baisse démographique. "Là s'arrête leur préoccupation pour les cégeps des régions et leurs étudiants. Cela est peu pour contrebalancer l'exode des jeunes!", conclut la présidente de la FECQ.
La FECQ représente quelque 60 000 étudiants dans 18 cégeps d'un peu partout au Québec.
Renseignements:
Julie Roy, Attachée de presse FECQ, Cell. (514) 562-3321

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JOURNAL DE MONTRÉAL : Charest veut hausser le financement au post-secondaire – Dimanche 17 avril 2005

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